SAFYR , la nouvelle bombe de la danse orientale
Une beauté divine, un regard
charmeur, des pas gracieux, une sensualité et un déhanchement sur scène à vous
couper le souffle. Le tout dans une tenue vestimentaire très… très légère, qui
fait d’elle la danseuse orientale la plus sexy du moment.
D'origine Chaoui dans les
montagnes algériennes,( la légende dit que les gens de cette régions ont du
caractère, hommes et femmes), elle découvre la passion pour la danse dès sa
tendre enfance en regardant son frère danser au cours de spectacles. Dès lors,
cette fan de Michael Jackson est rongée par l’envie de danser.
En 1996 elle commence par se
révéler dans le Hip Hop contemporain à travers une série de spectacles dans le
sud de la France, notamment avec la compagnie black blanc beurre. Elle danse
également le « foxy brown », ( le zouk love du Hip Hop) dans des soirées
mixées par un certain DJ Mouss et un certain DJ Abdel au platine.
La même année, elle est
invitée à danser au Bollène poly musical du festival d’Avignon ainsi qu’à la
salle « le Thors ».
En 1997 elle danse le Hip Hop
contemporain avec la compagnie ACNN.
Mais son sens inné de la
danse orientale la suit et le spectre d’un retour aux sources plane sur sa tête.
A partir de 1999 c’est le déclic car nul ne peut échapper à son destin. Elle
danse entre autres variétés, la danse orientale aux côtés de Franck DERIVAULT un
célèbre chanteur du l'Aube au palais des congrès de Strasbourg. « Essayez donc de
fuir le naturel et il vous revient au galop » nous dira SAFYR. Pouvait-il en
être autrement quand on sait que tout ce qui est gracieux et sensuel s’appellent
« SAFYR » .Les années 2000 verront ainsi la naissance d’une star :
Son talent de danseuse
orientale, SAFYR va d’abord le tester au cours d’anniversaires d’amis, de
mariages, d’enterrement de vie de garçon… L’oiseau rare est vite repéré et
sollicité pour danser
« oriental » dans des clubs privés libanais, dans des grands restaurants comme
Lancolie à Troyes
ou la Menara à Paris qui font le plein à chacune de ses prestations.
Elle n’échappera pas non plus
à la convoitise des comités d’entreprise comme la Lyonnaise des eaux ou le Club
Med pour ne citer que ceux là, en vue de rehausser l’image de leurs fêtes.
Aujourd’hui, à 25 ans,
l’étoile montante de la danse orientale ne rêve que d’une chose : faire
partager son talent au grand public en jouant dans la cour des grands.
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